Il coordonne, l'engagement de différents groupes musicaux (locaux et nationaux) qui se présentent dans le territoire. Entre les groupes les plus notoires avec lesquels il raconte le territoire, il faut marquer par son enracinement traditionnel :
Mongo Rives et La Criolla Tumbita
Île de la Jeunesse (Isla de la Juventud): pourra posséder un trésor occulte, une insomnie cupide d'un pirate, mais il a plusieurs à vue et entre la nature, la richesse biologique et une manière se détache ses paysages d'un particulier le Sucu Suco*, le rythme qui reconnaît comme pionnière à une femme légendaire dénommée Brune le Château. Il a commencé à être conçu par le 1840 dans la propriété La Tumbita, tout près dont ce serait par la suite Santa Fe, un second peuplé dans une importance dans aujourd'hui Isla de la Juventud.
D'abord il a été connu avec le nom de rumba, rumbita, cotunto et les autres, jusqu'à la décennie des vingt que son nom définitif adopte, basé dans râpé de la mandoline espagnole et le fait de traîner les pieds sur les planchers en bois des huttes et conucos où les fêtes étaient célébrées. Comme l'enquêteur Roberto Rodriguez Chamizo nous raconte, Brun, il naît, le rythme, qui continue à travers de ses descendants et il est consolidé et il agrandit comme si c'était une hérédité de famille, avec son arrière-petit-fils, le fameux Raymond "Mongo" Rives.
Mongo est le plus grand exposant de ce rythme, non seulement dans la municipalité mais aussi dans tout le pays, en débutant avec son quintette en 1945, en étant son nom "Mongo Rives et le Tumbita Criolla". Depuis ce jour, avec sa tâche de répandre la culture de son Île et de réjouir les coeurs de ses habitants, il a continué et consolidé le rythme connu national et internationalement.
En 2002 la productrice nationale BIS Music a eu l'honneur de graver son premier disque dans une étude, en capturant ainsi pour l'histoire, le son du Sucu Suco* dans son expression la plus légitime,
Aujourd'hui avec le luth* créole de Mongo, accordéon, marímbula, une machette, bongó, une guitare et trois, en plus de la moindre percussion (des maracas, des clés, etc..) il a encadré d'une manière très spéciale le rythme. Entre les nombres plus connus de son répertoire qu'ils ont fait danser aux Cubains et des étrangers se trouvent : “Yo quiero bailar con María Elena”("Je veux danser avec Marie Elena"), “Dame el rabito del lechón”("Donne-moi le rabito de lechón*) (*du cochon), "Linda Pinerita", “Catalina, mi vecina” ("Catalina, ma voisine"), “Se quedó sin ropa el chivo”("est restée sans vêtements le chevreau") et “Santa Fe, pueblo querido”("Santa Fe, un peuple aimé"), entre les autres.
Sonny Boys Band
Le groupe depuis beaucoup d'années travaille sur la musique angle-caribéenne sans oublier la musique cubaine qu'ils ont toujours faite. Son directeur, né dans l'Île, d'un père des Îles Cayman et une mère jamaïcaine; Arnold Dixón, connu comme Sonny Boys porte dans le sang les rythmes traditionnels de ces nations. Beaucoup de fêtes de caimaneros* et des Jamaïcains étaient faits dans sa maison, et il participait à elles depuis un enfant. Il porte en créant et en participant depuis 60 ans, dans différents groupes musicaux angle-caribéens. Dans ses commencements, par l'amour de ses racines, ses orchestres il a cultivé le calipso, le round danse et d'autres genres des Caraïbes anglophones parce que le tourisme américain prédominait dans les premières décennies du XXe siècle.
Ses rythmes traditionnels ont continué de s'enrichir, en se fondant aux autochtones et de marquer un timbre distinctif de l'identité locale. 11 intégrants le forment, où se mélangent 2 claviers, 2 trompettes, un haut saxo, 3 chanteurs, un batteur et une tumba. Ils ont participé aux rôles multiples à tout le pays et à l'étranger, où ils essaient de toucher toujours la musique anglo-saxonne. Une valeur excellente de la culture et de la musique cubaine et spécialement de l'Île de la Jeunesse.
Une valeur excellente de la culture et de la musique cubaine et spécialement de l'Île de la Jeunesse (Isla de la Juventud).