Cayo Largo a été un site choisi par des pirates et des corsaires pour réaliser de brefs séjours et pour garder les trésors conquis ou pillés dans ses aventures par des mers et des villes. L'un de ces pirates a incrusté dans une des côtes de Cayo Largo une croix comme symbole de conquête et imposition de ses coutumes et d'habits. Des années après, les esclaves des fugitifs du colonialisme espagnol choisissaient les lieux les plus inhospitaliers pour se réfugier du châtiment.
Des plantations de tige dans la province de Matanzas un groupe d'eux se sont enfuis au Cienaga de Zapata. Par la suite ils ont navigué dans des canoës vers le sud et ont trouvé cette portion de terre. En parcourant le Récif, sur l'actuelle Plage Blanca/Blanche ils ont trouvé une croix à laquelle ils ont fait un rituel, ils la bénissent, avec les rites à ses dieux, des fruits du syncrétisme religieux. Ils lui ont assigné à la croix la mission de protéger cette terre.
Cette histoire est arrivée au-delà des frontières du Récif et en 1961, avec le commencement de la construction de l'Hôtel Isla del Sur, a été déplacée au lieu où aujourd'hui il reste. Depuis là il défend cette terre bénie par la nature.
Racontent les fondateurs de la destination qui la même ne doit pas se toucher et beaucoup moins essayer de l'abattre. De ses légendes il se parle beaucoup, mais personne n'ose controverser qu'il a accompli la mission que les orishas lui ont donnée.
Île de la Jeunesse:
Presque négligée, pendant quelques siècles corsaires et pirates ils l'ont utilisée comme un refuge et une base d'opérations. Sa dénomination a varié tant dans le temps, comme le nombre de visiteurs qui la connaissaient dans une première fois.
Les aborigènes cubains la nommaient Siguanea ou Camaraco et ils ont laissé pictographies visibles aujourd'hui dans quelque de ses grottes. L'Amiral Christophe Colomb quant à lui l'a nommée San Juan Evangelista. Sous un domaine espagnol on l'a nommé l'île d'Exiles/ Isla de los Deportados, puisqu'il servait d'une prison aux condamnés pour des motifs politiques, et par la suite l'Île de Pins, (Isla de Pinos*) du nom avec lequel il est arrivé par an 1978, quand il s'est résolu à la nommer Isla de la Juventud.